Ce qui distingue MedGPT, c’est d’abord sa spécialisation. L’IA s’appuie sur un large corpus médical : textes de références français et européens (Haute Autorité de Santé – HAS, ANSM,
Chaque réponse est « sourcée » (avec mention des sources et date quand c’est possible), ce qui renforce la transparence. Cette approche vise à limiter les erreurs dues à des données mal adaptées ou obsolètes — un des points faibles des modèles généralistes.
MedGPT a été testé sur les annales des Épreuves Classantes Nationales (ECN) de médecine. Sur ce terrain académique exigeant, il aurait obtenu un score supérieur à ChatGPT (basé sur GPT-5 dans les rapports), le devançant de 7 points dans certains protocoles d’évaluation.
Ce résultat le place parmi les meilleurs étudiants (top 5 %) tandis que ChatGPT est jugé se situer davantage vers le top 20-25 %.
Ce comparatif suggère que pour les usages liés aux connaissances médicales françaises, MedGPT pourrait être plus pertinent.
Même si les résultats sont prometteurs, plusieurs points restent à clarifier, et l’outil ne saurait remplacer le jugement clinique :
MedGPT est pour l’instant en version bêta, avec une limite d’utilisation (5 questions/jour par utilisateur).
Le fait de réussir un examen académique (ECN) ne garantit pas une parfaite efficacité dans tous les scénarios cliniques : diagnostics complexes, situation d’urgence, données patient réelles, diversités des cas, etc.
Il est crucial de respecter la réglementation, surtout en ce qui concerne les données de santé (confidentialité, anonymisation, hébergement sécurisé), ce que Synapse Medicine revendique.
MedGPT apparaît comme une avancée intéressante pour l’IA médicale en France : il combine spécialisation, transparence et alignement sur les référentiels locaux. Dans certaines évaluations, il surpasse ChatGPT quant à la précision sur des connaissances médicales académiques en contexte français. Toutefois, son utilité dans la pratique quotidienne dépendra de sa fiabilité réelle face à des cas cliniques concrets, de son intégration dans les systèmes de soins, et de son évolution hors de la phase bêta.
MedGPT ne remplace pas le médecin : il l’éclaire.
Chaque réponse est « sourcée » (avec mention des sources et date quand c’est possible), ce qui renforce la transparence. Cette approche vise à limiter les erreurs dues à des données mal adaptées ou obsolètes — un des points faibles des modèles généralistes.
MedGPT a été testé sur les annales des Épreuves Classantes Nationales (ECN) de médecine. Sur ce terrain académique exigeant, il aurait obtenu un score supérieur à ChatGPT (basé sur GPT-5 dans les rapports), le devançant de 7 points dans certains protocoles d’évaluation.
Ce résultat le place parmi les meilleurs étudiants (top 5 %) tandis que ChatGPT est jugé se situer davantage vers le top 20-25 %.
Ce comparatif suggère que pour les usages liés aux connaissances médicales françaises, MedGPT pourrait être plus pertinent.
Même si les résultats sont prometteurs, plusieurs points restent à clarifier, et l’outil ne saurait remplacer le jugement clinique :
MedGPT est pour l’instant en version bêta, avec une limite d’utilisation (5 questions/jour par utilisateur).
Le fait de réussir un examen académique (ECN) ne garantit pas une parfaite efficacité dans tous les scénarios cliniques : diagnostics complexes, situation d’urgence, données patient réelles, diversités des cas, etc.
Il est crucial de respecter la réglementation, surtout en ce qui concerne les données de santé (confidentialité, anonymisation, hébergement sécurisé), ce que Synapse Medicine revendique.
MedGPT apparaît comme une avancée intéressante pour l’IA médicale en France : il combine spécialisation, transparence et alignement sur les référentiels locaux. Dans certaines évaluations, il surpasse ChatGPT quant à la précision sur des connaissances médicales académiques en contexte français. Toutefois, son utilité dans la pratique quotidienne dépendra de sa fiabilité réelle face à des cas cliniques concrets, de son intégration dans les systèmes de soins, et de son évolution hors de la phase bêta.
MedGPT ne remplace pas le médecin : il l’éclaire.